En lisant les épreuves du deuxième volume du Recueil de Dorais[1], j’ai dû faire une pause de vie pour réfléchir à ces deux vers qui se présentent à moi comme une synthèse, comme la synthèse de nos vies.
« L’univers n’existe que pour
Un geste d’Amour. Une Rose. »
Et le temps de cette session de lecture tous mes gestes d’amour m’ont possédé. Maelstrom de souvenance, Let’s do the time warp again, passions débridées, moments de vérités, c’est dans le miroir de l’autre et de l’amour que l’on s’entrevoit pour la première fois.
[1] Dorais Fernand, 2013. Le Recueil de Dorais, vol. 2, Les trois contes d’androgynie suivit du Conte d’amour. Sudbury, Prise de parole, 394 pages.
C’est très beau Gaston…et juste.
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