Le vent hurle dans ses oreilles
Ses yeux sont des hublots qui donnent sur le parterre
Sur des fleurs qui se pavanent et des bambins qui jouent, côté jardin
Sous les roues compresseurs des poids lourds, côté cour
À l’horizon, un mur de brique rouge occulte le lointain
Tapis dans son for intérieur
L’enfant qu’il est toujours pleure son père
Son frère, sa mère et ses amis
Vieillard, il pleure son seul fils perdu
Sous la marquise le vent transporte la pluie
Les rues sont désertes, s’y reflètent les néons
Le vent souffle sur la neige ruisselante
Le vent criaille dans ses veines
Turbulences…
Les scènes tristes le font toujours pleurer
Enfant, il hurlait dans le noir et dans la nuit
En vieux loup esseulé, il hurle pour sa meute
Épuisé, Il hoquète, il abréagit… il appelle sa maman
Au-delà de la turbulence
Il y a que l’amour qu’il a connu
Qui le guide vers l’amour de ceux
Qui le feront danser demain
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Superbes écrits … Merci pour le partage
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