Une pause pendant la pandémie !
Jour après jour, de semaine en semaine, c’est la même chose, dodo-télé-dodo, l’état d’être de notre conscience est endolorie, cette partie de nous-même qui écoute, qui voit et perçoit la réalité de notre « totalité »… est endormie, car nous ne voyons que la mort à l’horizon.
Dodo-télé-dodo
On ne compte plus les morts une à une, on s’intéresse plutôt à la fréquence.
Un médecin a annoncé à la télévision, hier soir, qu’il y avait un Américain qui mourrait du Corona Virus à toutes les 47 secondes.
Pour tout un chacun, c’est une prise de conscience de l’intérieur vers l’extérieur, un regard détaché de la réalité, c’est sûr, et cette vision est si intense qu’il est difficile de faire la différence entre notre perception des choses et les choses elles-mêmes.
Dodo-télé-dodo
Mon ami, Paul-André, écrivait quelques mois avant sa mort :
La vie, c’est tout un évènement
C’est le plus beau
C’est le plus grand
Voilà un truisme déchirant, surtout évident, en temps de pandémie. J’ai les nerfs à fleur de peau, j’entends l’écho de ma voix qui chuchote dans ma tête :
J’ai peur, j’ai l’impression de vivre dans un film, tout ce qui nous arrive dans nos trop confortables « prisons privées » est tellement surréel. Si les punks des années quatre-vingt étaient les héritiers de Dada, le trumpisme est certainement l’ultime dadaïsme, l’œuvre d’une personnalité aussi fausse que les matamores de la comedia del arte.
J’ai peur!
J’ai peur de mourir seul, dans un monologue percutant, dans une scène de tu-seul théâtral à la Michel Tremblay, comme un tourbillon de poésie figé dans une bulle de plastique opalin.
J’ai peur!!
J’ai peur de devenir une pipe qui n’est pas une pipe, car je suis un homme, je ne suis pas une chose.
Dodo-télé-dodo
Le président Trump prévoit que la fréquence des décès augmentera à plus de 3 000 personnes par jour, à une victime chosifiée toutes les 30 secondes et ce… avant le début du mois de juin.
Et il bat la mesure, comme le tambour de la République des lemmings américains qui marchent, au pas, vers le paradis perdu du rêve américain.
Le docteur Fauci prévoit que la fréquence des morts augmentera jusqu’à la trump-vitesse maximum, jusqu’à la limite de la tolérance à la souffrance des Américains.
Dodo-télé-dodo
Va-t-il falloir construire des hauts-fourneaux pour incinérer les victimes du trumpisme.
Dodo-MAMAN-dodo !!!
J’ai peur…
Postscriptum : après avoir écrit ce texte. j’ai vu ce clip. À voir!!! https://www.youtube.com/watch?v=t_yG_-K2MDo
Voilà ici, Gaston , nous avons, dégarni les maisons inter générationnelles sorties les occupants en débarquant :
– les nouveaux nés dans les garderies, écoles, centres jeunesse,
– puis la clé maîtresse de cette désorganisation culmuna lorsque ces grandes maisons sont devenues vides de leur âme
– en sortant les grands parents, de ces précieuces maisons familiales
– en les poussant dehors en les confinants dans un monde artificielle, en propriété publique-privé , car présenté en « paradis terrestre » que constitua l’ensemble de ce complexe, (foyers, centres, institutions. .), sous différentes étiquettes, laissés à eux même que nous pouvons qualifier de mourroirs.
Bien sur beaucoup d’effort à été mis afin de légiférer sur l’aide médicale à mourir.
Il fallait y penser , buen plus simple et silenxeux avec la sous alimentation remplacànt la prescription combinée et doublée, afin d’accélérer llà formule mortifère, de la réduction du nombre de douches et de soins personnels, en réduisant le nombre de préposé et les sous payants eux en première lignes.
Puis en transfétant les économies en créant une structure administrative théoriquement rassurante et impressionnante. Voila en interdisant les petits enfants, enfants, amis et visiteurs d’y pénétrer, il s y produit en silence un dramme d’horreurs effroyables tel un alambique.
Alors arrêtons d’avoir peur reprenons confiance dans la vie aimante et solidaire.
Puis procédons au nettoyage de cette catastrophe en prodigant des soins d’urgence aux victimes.
Puis réunissons à nouveau les familles traditionnelles selon le concept des maisons inter générationnelles et nous pourrons continuer une vie normale.
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